28 novembre 2006 2 28 /11 /novembre /2006 13:35
La gare de Chalençon

Curieux décors. J’allais mettre de coté ces images, quand je me suis rendu compte de ce que la gare était à près de 2 km du village situé dans les hauteurs de la montagne. Autour de la gare, rien…(Même si aujourd’hui c’est une coquette maison bourgeoise.).

Ce matin je suis allé sur « Google Earth », et j’ai suivi un peu cette vallée de l’Eyrieux. Le village est bien loin de la gare…Pourtant au milieu du XIX siècle cette voie de chemin de fer a été décidée et construite. Quelle rentabilité a-t-elle pu avoir ? Même si le train transportait du bois et quelques voyageurs, ce n’est pas quelques dizaines de journaliers qui pouvaient rentabiliser l’équipement.

 Du coup je repensais à quelques images : Au bureau de poste (La Poste !) Les deux distributeurs de timbres et leurs balances pour peser le courrier étaient en panne. Il n’y avait pas d’autres clients que moi, et je me suis autorisé à dire que je ne comprenais pas pourquoi depuis plus de 6 mois ces deux équipements étaient en panne. Quand il y avait une file d’attente aux guichets, faire peser un courrier ou un paquet prenait facilement 20 minutes, alors que si les automates avaient fonctionné j’aurai géré mes envois en trois minutes.

Les deux postiers esquivent d’abord ma question : voulez-vous des enveloppes avec vos timbres ? Surpris, je réponds que quand j’ai besoin d’enveloppes je vais à la papeterie, et que pour envoyer mon courrier ou mes paquets je vais à la Poste. Et d’ajouter que notamment mon dernier envoi avec accusé de réception n’avait jamais été honoré, que c’est en téléphonant à mon fournisseur que j’avais su que mon colis avait été bien reçu !

Le postier voulant bien faire, et toujours en l'absence d’autres clients m’explique la concurrence, la privatisation, et que les automates en panne c’est la garantie de leur utilité à eux ! Ils vendent des enveloppes et pleins d’autres services, mais le courrier, bon ! C’est plus vraiment ça….

L’autre image, c’est la camionnette jaune de La Poste sur les chemins perdus de mes randonnées au pays basque. Les collines et les chemins font qu’il y a parfois 2 km entre deux fermes isolées. Sur trois heures de rando, je rencontre moins de dix voitures et plus de dix fois le facteur qui entre ou qui sort d’un chemin de traverse. Même s’il a porté trente ou quarante lettres (sans compter la pub), c’est pas le prix des timbres qui va payer sa tournée.

Enfin cette troisième image, un ami m’explique qu’ayant fait un achat par Internet, il est allé retirer son paquet chez un cordonnier, point de distribution d’un transporteur, et que c’était bien, parce qu’ouvert après les heures de boulot, et sur son chemin en sortant du métro.

 

Quel paradoxe hein ! Et si demain les camionnettes jaunes allaient rejoindre le cimetière industriel des rails arrachés, parce que trop loin des clients et de leurs besoins ?


Début: Vallée de l'Eyrieux 1

précédant: La vallée de l'Eyrieux 2

A suivre: Le trésor de Rochebonne


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Eyrieux 3
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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 22:37
Les baleinières
 

Quand je revois ces images des baleinières dans les jeux de plages, je pense à ces pêcheurs que j’avais vu tant s’escrimer sur leurs avirons ou sur leur voile. Passer la barre, affronter le courant, sauter les vagues, face au vent c’était leur travail quotidien. Ils pouvaient mettre un quart heure pour les premiers cent mètres.

En souvenir de ce village de pêcheurs au nord de Dakar, je vous mets cette photo. La pêche c’était pour vivre et la barque pour travailler.

 
 
Aujourd’hui, les ateliers sont transformés en musée, et les outils deviennent des jeux . Le pêcheur mettait un ciré, le sportif met une combinaison en kevlar. Pourtant quand la barque est soulevée par les lames, que les avirons s’agitent en l’air, il n’y a pas de triche, l’océan est le même. On a de loin l’impression qu’elle retombe doucement, alors que le choc est rude et déstabilise l’équipage . Là il suffit de reprendre son souffle, son rythme, il n’y a pas d’enjeu, seulement un but à toucher sous le regard des badauds.

 
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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 23:03

Vagues à lames.  1

 

Toussaint. On n'y croit pas. Le soleil joue de ces tours. C'est un temps de plage. Et la plage est en fête. L'océan a oublié ses tempêtes d'automne, oublié ses coefficients de marée, il joue. Comme un gros papa qui enfle son ventre sous la couette, puis laisse monter ses petits enfants puis se dégonfle ou se tourne pour faire chavirer les aventureux,  les faisant rouler sur le lit.
Tous rient, crient et se relancent. Le soleil c'est les vacances, et cette plage c'est ce grand lit d'eau et d'écumes. Maintenant il plie les genoux et la couette monte, l'enfant reste suspendu, il sait qu'il va plonger, il attend le signal. Petit sursaut du genou, grand cri! L’enfant dévale la jambe et reste bloqué sur les pieds, étourdi. Et les pieds le bercent doucement le maintenant dans la houle de couette. Son rire s'éteint doucement, il reste là reprenant son souffle, fixant son regard au ciel. Il sait que ça ne va pas durer, que chacun va se lasser, mais là il a besoin de ressentir encore une fois cette force. Elle   le soulève, le projette, puis dans un grand jeté de draps l'emmitoufle. Un baiser sur un front de sueur et de sel lui dit que c'est fini. Mais il y pense encore.

Il aime les vagues.

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8 novembre 2006 3 08 /11 /novembre /2006 17:35

Vallée de l’Eyrieux 2

- Tu ne te fais pas un peu chier sur ton vélo ?

 

Combien de fois on m’a posé la question ? Tous ceux qui n’ont pas goûté l’effet cumulé de cette fausse solitude et de cet effort imposé. En même temps qu’on dépasse les limites de ce qu’on peut découvrir à pieds, d’avoir la sensation de pouvoir se perdre, on peut donner libre cours à toutes sortes d’idées.  La plupart du temps il ne reste rien des images fugaces qui ont été générées par l’association nouveaux décors – nouvel effort. Et décider du retour c’est souvent  finir ce petit rêve qui accompagne la ballade. Là c’est plus dur, l’imaginaire ne supplée plus la longue fatigue qui s’était installée doucement, et qui s’alourdit d’un coup.

- Ben alors ! pourquoi t’y retournes ?

La fascination !

Les paysages neufs, on se les accapare. Ne pas les avoirs vus, c’est comme si ils n’existaient pas avant !  les approcher doucement, les sentir,  en même temps vibrer avec le vent, se laisser envelopper de brumes. L’œil tire les jambes,  il faut être sur que derrière,  l’image se courbe et se referme sur cette découverte, comme un trésor. Des fois l’impatience te fait pédaler plus fort : les tempes cognent un peu, le cœur aussi, et tu ressens tout le plaisir de cet instant : l’émotion unique !

- N’importe quoi ! Fais voir tes images. Ben : c’est une rivière, y fait pas beau, et tu te fais chier tout seul, hein ?

Là, t’es trop con !

 

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Eyrieux 2
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4 novembre 2006 6 04 /11 /novembre /2006 22:12
Le Pont de Crimée
 

Lorsque qu’on revient du canal de l’Ourcq pour rentrer dans Paris, on arrive au grand bassin de la Villette, et bien sur au parc construit sur les lieux des anciens abattoirs. La Géode est un point de repère facile devant le Musée. Le dimanche matin les pelouses profitent des crampons des footeux amateurs et heureux. Des fois, un ballon tombe à l’eau …

Comme je revenais des Grands Moulins, je marche jusqu’au pont de Crimée, ou plutôt de la rue de Crimée. Il y a moins de dix ans deux grands bâtiments encadraient ce pont. Les entrepôts des Magasins Généraux de Paris. Il n’en reste qu’un. L’autre, occupé par des artistes et quelques marginaux a brûlé sans que les pompiers à quelques centaines de mètres n’y puissent rien.

Quand on se renseigne sur le pont-levis au dessus du canal, on apprend que les entrepôts et le pont avaient déjà été incendiés en 1871 par les communards.

Mais le site des quais de Seine et de Loire en prolongement du canal de la Villette est en profonde restructuration. Et le dernier bâtiment des anciens entrepôts en cours de réhabilitation.





Quelques photos, et quelques bruits apportés par la vidéo….

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Le_pont_de_crimee
Vidéo envoyée par albumrj
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23 octobre 2006 1 23 /10 /octobre /2006 20:10

Les jardins exotiques du salon du jardinage

 

Dans mon premier post sur le salon du jardinage, j’essayais de montrer le travail de la matière brute pour construire un jardinet bourgeois bien conventionnel. Avec les mêmes matériaux et les mêmes règles, les concepteurs jardiniers parvenaient à des résultats  différents et tous  personnels..

 

Pendant notre promenade, nous avons profité du stand des « pêchers de Montreuil » : historique de la culture de la pêche puis des autres fruits depuis Louis XIV, dans cette ville qui a gardé ses traditions maraîchères avant d’en adopter d’autre plus ouvrières…

 

Devant ce stand, trois  compositions, l’une assez symbolique aurait pu s’intituler « comment faire un jardin avec les restes du « Dakar » ? » Une autre dans la grande lignée des casses automobiles érigées en monument d’art contemporain, montre l’accommodement des résidus ménagers dans une petite courette. Enfin un dernier, de la ville de Montreuil,  nous renvoie les aspirations à un pays perdu ou rêvé, d’un imaginaire enfantin. Chaque fois, pas mal de génie dans la mise en valeur des objets. Fleurs et plantes apportent la touche magique, la distance nécessaire pour que l'évocation prenne.

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Salon_du_jardinage_2
Vidéo envoyée par albumrj

 

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13 octobre 2006 5 13 /10 /octobre /2006 21:16

Vallée de l’Eyrieux

 
Vers Saint Laurent du Pape
 

Une chose est sur je ne connaissais rien à cette vallée avant cet été. Nous étions dans une sorte de gîte à 5 km de Saint Laurent du Pape. Dans l’Ardèche. Pendant plusieurs jours je me suis escrimé avec mon VTT (et bien souvent à côté) sur des chemins de grande randonnée, plutôt faits pour des excursions à pieds. Je choisissais mes balades sur la carte en estimant les dénivelés et quelques centres d’intérêt trouvés dans un vieux « Guide du Routard ». Lorsque quelqu’un m’a parlé d’une voie de chemin de fer désaffectée, qui était devenu un chemin de randonnées. La première fois que je le suivi, j’en perdis la trace au bout de quelques kilomètres. Un homme du coin m’assura que cet ancien chemin de fer départemental faisait plus de 80 km. Comme je ne comprenais pas bien comment je l’avais perdu dans un gros village, il m’expliqua qu’il fallait toujours le chercher de l’autre coté de la route.

Nous étions au bas de la vallée, l’ancien CFD était souvent goudronné, et toujours bien entretenu. Une ballade de père de famille. Pourtant au fur et à mesure qu’il grimpait il devenait de plus en plus rustique, et franchement chaotique (quand les tranchées des anciennes traverses n’avaient pas été comblées.)

Je vous propose mon départ de Saint Laurent du Pape vers Saint Fortunat puis les Oillières.

A suivre: Vallée de l'eyrieux 2


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12 octobre 2006 4 12 /10 /octobre /2006 19:30
    De la piste de l'Ourcq au boulevard des Pyrénées il n'y a qu'un pas. Il suffit de suivre le Gave. Pas direct! Mais on embraye tout de suite sur l'ambiance de fête. On passe du chateau aux danses traditionnelles avec le foulard, et on finit façon bandas! Il y a des folklores, et des fêtes qui pèsent plus que d'autres. Le foulard jaune n'a pas encore la renomée du foulard rouge bayonnais, mais qui sait?

        L'été palois c'est soleil, montagne, fine bouffe et Jurançon. Le boulevard des Pyrénées d'où on découvre toute la montagne est impossible à filmer. Mais le Pic du midi d'Ossau est le point de mire de tous les télescopes et appareils photos. Y a-t-il encore une magie du pic de l'ours? Quel randonneur n'a pas rêvé d'y monter, de le voir. C'est mon lieu mythique, celui par lequel j'ai découvert le plaisir de la randonnée, Première nuit en refuge, premiers troupeaux en estive, et la puissance de la montagne.

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9 octobre 2006 1 09 /10 /octobre /2006 14:42

La piste de l’Ourcq


Les Grands Moulins de Pantin


Je sorts du garage Renault de Pantin, et me retrouve déambulant le long du canal de L’Ourcq. Il est à peine huit heure, les chantiers ronronnent. Que connaissais-je des Grands Moulins de Pantin ? Rien. Ils faisaient partie de mon patrimoine visuel. (Et je rejoins là, la route de Moffans.) J’y suis passé devant pour la première fois vers la fin des années 50. L’équipe de basket du « patro » était souvent transportée par le père d’Hervé, de Levallois, avec sa grosse Oldsmobile. On allait de banlieues en banlieues, et le clou du championnat c’était l’ASDB, où l’on jouait en salle et partout ailleurs dehors, sur des terrains en terre stabilisée.

 

L’hiver la nuit tombait tôt. Et la circulation sur les boulevards des maréchaux se faisait à bonne vitesse. On voyait au loin ces grands bâtiments sombres. Les Grands moulins de Pantin. Leur masse impressionnait. "Qu'est-ce que c'est ?" La réponse tombée on était loin…

 

J’ai redécouvert le coin il y a une quinzaine d’années, quand j’ai commencé à faire du vélo sur la piste de l’Ourcq. Le dimanche on ne voyait personne. Je me disais qu’ils étaient désaffectés. Des fois quand un petit groupe s’était formé, je demandais si ça travaillait encore ? « sais pas ! » répondaient les plus intrépides…


Pourtant, la farine, le pain, ça devrait se voir : d’où ça arrive, comment ça se passe ? On voit seulement le matin vers les sept heure le camion qui livre la boulangerie du coin. La pompe dans son long hululement  pousse la farine au fournil. C’est un bon réveil quand on a oublié de se lever pour aller bosser. D’autant que toujours mal stationné, le camion provoque quelques coups de klaxon exaspérés.


Je ne sais pas si je connaitrai un jour toute l’histoire du canal de l’Ourcq, livrant le blé de Brie, le charbon et la viande jusqu’à la Villette. Je sais juste que la ballade, la flânerie m’emportent toujours dans des rêves impossibles. La piste de l’Ourcq, c’est la nostalgie du temps passé au travers la brutalité des changements d’aujourd’hui. Ce cours continu de l’eau c’est l’histoire de mon petit temps qui coule.  Comment chaque vaguelette si identique à la précédente est aussi tellement différente et insaisissable. Et le long de ce chemin de hallage que de vies, d’espérances, de sueurs, et aujourd’hui de contemplation de ce temps fini. Le nouveau temps s’est installé un peu plus loin à l’atelier de réparation de TGV Est. La piste de l’Ourcq c’est des joggeurs, des cyclistes,  des rollers qui  se réapproprient l’espace abandonné par les chevaux, les brodequins, les bottes, les sabots peut-être, mais aussi, les locomotives fumantes, les péniches, qui avaient construit le tissu industriel de cet est de Paris.

 


Que vous dire sur les Grands Moulins ? Rien de plus que sur vos recherches sur le Web. Qu’une première minoterie s’est construite en 1880. Une lettre d’un témoin sur un site de l’Huma explique l’incendie suite à l’explosion d’une péniche d’explosifs pendant la dernière guerre. Que la reconstruction à permis à des centaines de personne de travailler, jusqu’à la fermeture progressive et définitive du site en 2001…

 


 

Moi, je n’y ai vu des hommes -et pour démolir- que depuis le retour de vacances. Démolition, réhabilitation. Effacement des traces de tous ceux qui y ont travaillé si longtemps.

 

Grands moulins de pantin
Vidéo envoyée par albumrj

Paradoxe !  Et je vous en montrerai des photos, on installe des fermes dans les expos à toute occasion : lapins, poules, cochons, veau, âne, vaches, chevaux bien sur. Pas une animation « culturelle » sans les images d’Epinal de la paysannerie traditionnelle (et qui n’existe plus) !

Et des ouvriers de la fonte, de la tôle, de la presse, de l’emboutissage, de la chaudronnerie, de tout ce qui a permis l’ère moderne de l’industrie ? Jamais un stand dans les expos. L’odeur du cambouis, ne vaudra jamais celle du crottin de cheval dans notre imaginaire ! Sur ce sujet il faudra un jour demander des comptes aux intellectuels, et aux verts. Pour les premiers l’intelligence prime sur le savoir-faire, pour les autres les usines ne sont que des sources de pollution. Pourtant les usines manquent et bien des chômeurs se rêvent encore ouvrier.

A suivre: démolition des grands moulins de Pantin (2007)

A voir aussi: Reconstruction des Grands Moulins de Pantin (2008)

 


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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 21:10

Surprise sur la piste de L'Ourcq. Vendredi, il faisait beau et dès neuf heure j'avais pris la piste le long du canal.  Au parc de la Bergère (le terminus de la ligne 5), des barrières et des tentes de stand?

Je suis passé au ralenti en essayant d?éviter les enfants des écoles. Il y en avait partout bien compacts;  il fallait rouler près du bord en évitant les écarts des bousculades. Je n?ai pas fait attention à ce qui s?y passait.

Au retour, la découverte d?une grande animation: des dizaines de jeunes étaient dans de grands « bacs à sable », il y avait des briques, des pierres etc? Je pose le vélo et découvre un concours pour un jardin paysager. On avait reçu le matin sur le photoblog les photos du jardin de Ricou, et j?ai voulu en montrer d?autres. Mes MMs ne sont pas arrivés une fois de plus.

Du coup je suis revenu l?après midi faire quelques images, et le dimanche soir pour voir le travail terminé.

Ma petite vidéo pour vous commenter tout çà. J?en ai découvert des trucs ! J?imaginais pas ! Ni ce qu?on pouvait faire, ni comment !

Je vous mettrai plus tard d?autres exemples.

Place au concours!!!

 


Salon du jardinage
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