26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 22:30


Jeudi 13 juillet 1978. Jour de gloire au premier col du cratère.
Montée gilman's point - 12
Je mes dans l'album photo mes notes, telles que je les scanne aujourd'hui 26/12/11. Il n'y a que quelques mois que j'ai retrouvé mes notes. Les diapos, je les avais scannées il y a longtemps. Pas toujours très bien, certaines deux fois sans un meilleur résultat. Elles ont du grain.
La page 3 de ces notes :
Ascension sous le soleil au début, mais vers 11h 30 nous faisons la pose dans le vent. Le Kili pointait ses neiges éternelles, il retrouve vite sa parure de nuages. Arrivée à 14 h30 épuisés.
Là, je pense que c'est notre arrivée à Kibo Hut au pied du Kilimandjaro.

Puis mes notes du vendredi 14 juillet et suivant qui reviennent sur l’ascension finale et notre retour à Arusha.

Vendredi 14 juillet. On est redescendu. Dernière étape. Il reste à faire le bilan de ces deux derniers jours d’ascension. On y reviendra.
Disons qu'à 15 h on était à Marango.
Tous les pbs de remises de location à la Miss Laine.
Le calcul du montant des pourboires aux porteurs. Cérémonie officielle d'adieu. Organisation du départ. Attente, comme toujours.
Pas de taxi, mais un bus qui nous balade de poste de police en poste de police. Puis il nous fait visiter Arusha by night. Enfin on arrive à l'YMCA. Très cher et pas de bouffe. Cela va faire trois jours que l'on tient à raison d'une tranche de pain et un rond de saucisson par jour. Si l'on ajoute les difficultés de boisson...
Minuit et demi, on ouvre les robinets de la chambre d'hôtel. Après quelques aventures...

-*-*-*-

Montée gilman's point - 16Notre arrivée à Kibo Hut, mercredi fut très dure. On voyait le refuge d'au moins dix kilomètres, et dans ce désert de crassier entre le Mawenzi et le Kili, le vent nous balançait.
Le dernier raidillon pour arriver au refuge à 4720 m fut terrible.
Mal de crâne et nausées
Au moment de la bouffe, les odeurs de colin et de singe me scièrent les pattes. Heureusement Brigitte me fila un truc. Impec.
Jeudi- Après une chasse à la souris nocturne, dans la chambre à côté, nous fûmes réveillés par quatre allemands de notre piaule. Ils partirent en définitive ½ heure avant nous, qui nous mirent en marche à 2h du matin.
Belle nuit claire, presque chaude. Tout le monde est encapuchonné. Devant, le guide Fataeli avec la lampe à pétrole. Puis, tous, les uns derrière les autres, à se toucher, le stick à la main, la lampe électrique sur le ventre. Cette procession de pénitents, voir de bagnards, s'ébranle. Tout de suite nous voilà en pleine pente, dans le crassier. Un peu à droite, un peu à gauche, tout le monde est scié  par les nausées et les migraines. Première Halte. Dominique. Il sera le premier à lâcher. On le redescendra.
L'aspirant guide nous rejoint dans la côte.  Nous marchons, comme ça, environ deux heures. Avec des haltes presque toutes les cinq minutes. Trois autres personnes abandonnent. De temps en temps on s'abrite sous un rocher ou une petite grotte. La nuit se tire. La haut, se découpe en sombre sur le ciel lumineux, la crête. Il faut l'atteindre. Elle recule toujours. Comme nos pieds dans le crassier. On lève de 10 cm, on redescend de 8. Du gagne petit épuisant.  Le froid gagne.

Puis le soleil rougit l'horizon. Enfin son disque rouge se découpe à gauche du Mawenzi.
7h, la crête est toujours la haut. Les guides nous encouragent, nous poussent. On n'en peut plus.
On verra le sommet vers 8h. Moins d'une heure avant le sommet je craque. Joel et un guide me « finissent ». La haut, crise de nerfs !

Sans ces notes, que me resterait-il de ces émotions ?
Les photos ne te montrent que le visible qui est le spectacle de la nature que nous voulions découvrir.
La joyeuse improvisation de notre organisation d'amateurs a produit ce qui était attendu, fatigue, épuisement, limite souffrance, abandons et disputes. Mais pas de malaise cardiaque, comme pour un des allemands qui a été redescendu en urgence sur un brancard, supporté par une roue de moto.
Ta petite femme t'a soutenu pendant toute la descente. Tu ne tenais pas debout. Au sommet, t'as chialé comme un môme pendant dix minutes. Ta crise a cessé d'un coup, quand le guide a demandé qui voulait faire le tour complet du somment, vers le point Uhuru à 5895 m.

On a dévalé 32 km depuis le sommet pour arriver au refuge à 3800m. Figures-toi qu'il y avait de la bière. Rien à manger, mais un bonne grosse bouteille de 66 cl de bière, « la gazelle ». Me demande pas le prix, j'ai pas demandé de reçu !

 

 

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107 kilimandjaro

En haut du Kilimandjaro.

Jeudi 13 juillet 1978

Kibo Hut - 26

Les neiges du Kilimandjaro –

Kibo Hut

Mandara Horombo - 10

Les neiges du Kilimandjaro : Mandara -Horombo

46 deuxième nuit en refuge-4

Les neiges du kilimandjaro

Refuge Peters hut à Mandara

146 arusha et kili-6

 Les neiges du Kilimandjaro. Arusha,

base de départ.


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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 20:32

 

Lente progression entre les refuges Bismarck Hut et Kibo Hut

le 12/07/1978.

 Kibo Hut - 26

C'est notre troisième jour de marche. La veille au refuge, nous avons un peu vidé les stocks de bouffe. La nuit a été fraîche et le matin, nous nous réveillons avec des maux de tête. Pourtant ce refuge n'est qu'à 3800m. C'est incroyable comment le temps, la lumière évoluent vite. D'abord une nuit claire et un petit matin frisquet qui te laisse apprécier la vallée. Puis la brume te prend et est, à son tour, chassée par le vent.

La première heure reste plutôt plaisante. Vers huit heures et demi, après une première heure de marche, la pause. C'est la dernière source. Tu n'as pas été prudent, tu aurais dû remplir deux gourdes. Tu n'avais pas prévu que les porteurs, pour l’essentiel, restaient là, et que seulement deux jéricans seraient montés, le minimum pour une soupe et du thé. Mais rien pour te refaire le plein.

Tu ne le sais pas, tu repars.

Tu traverses des vallées qui contournent le Mawenzi. Sommet volcanique un peu en dessous du Kilimandjaro. T'es impressionné par les masses rocheuses sombres. Surtout, quand tu débouches dans l'immense vallée entre les deux sommets, le vent glacé te prend. Le groupe s'étire. Tu restes un peu en arrière avec un petit groupe qui monte tranquille. Ta femme est là. Pourtant ça te démange d'aller plus vite. Après une dernière pause, après avoir vidé ta gourde (sans imaginer que tu n'aurais plus rien jusqu'à la soupe du soir), tu décides d'aller à ton pas, faire tes photos...

 

J'ai agrandi la photo, pour que tu voies bien notre chemin, jusqu'à Kibo Hut à 4800m. Un simple cabane en ce temps là. Je n'ai aucune idée de ce qu'est devenu le refuge aujourd'hui. Il va me falloir plus de deux heures pour y arriver, complètement épuisé et asséché par le vent. Tu passes à coté d'un gars qui t'avais demandé un peu d'eau dans la première montée. Tu lui demandes une gorgée : non ! Il lui en reste trop peu ! Rien à boire jusqu'à la soupe du soir !

 

La plaine de cailloux avant le refuge, balayée par le vent, te donne l'impression d'un territoire lunaire. Tu marches sur une sorte de mâchefer, de gros cailloux de lave, plus ou moins poreux. La tête rentrée dans les épaules tu fais front.

Le refuge est petit, tu jettes ton sac sur un matelas, réserve celui de ta femme, et ressors de suite. Tu te cherches un coin à l'abri du vent. Tu t'assois, jambes allongées, le dos calé contre un rocher, fermes les yeux et te laisses aller au sommeil. Les tempes bourdonnent, il faut que tu récupères.

 

Vers 17 heures le soir va venir vite, le groupe va s'installer un peu comme il pourra. Le menu du soir sera soupe de légume, une boite de colin pour quatre, un car de thé. Tout ça dans le seul récipient que tu avais. T'imagines le goût du thé.

 

Le lever est à minuit, avec les lampes électriques. Demain 13 juillet, l'ascension finale.

 

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107 kilimandjaro

En haut du Kilimandjaro.

Jeudi 13 juillet 1978

Mandara Horombo - 10

Les neiges du Kilimandjaro : Mandara -Horombo

46 deuxième nuit en refuge-4

Les neiges du kilimandjaro

Refuge Peters hut à Mandara

146 arusha et kili-6

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 16:03

 

L’ascension continue dans l'humidité, bientôt le vent et le froid.

Mardi 11 juillet 1978.

 

Mandara Horombo - 10 

Donc sur mes notes, je retrouve notre départ de Mandara, où nous quittons le refuge de PetersHut. Il est sept heures et demi ce matin-là. Tout le monde est prêt, les sacs bouclés. Le soleil se lève doucement en même temps que nous. Mais de la vallée de Moshi montent des nuages, l'humidité nous glacera doucement. Une pause vers 10 h, une éclaircie, un petit coin du kili se dévoile. Mais tu ne le verras jamais entièrement. Vers 12h30 arrêt au point d'eau.

Une demi-heure plus tard, on pose les sacs au refuge de Horombo. Les derniers n'arriveront que vers 14h00. Dernière évaluation de ce qui reste à manger. Ça va être drôlement Juste. Demain au denier refuge, avant la dernière ascension, que nous restera-t-il ? Ben ce qu'on n’a pas eu envie de manger jusques là.

 

Quand tu relis tes notes, que tu revois tes photos, tu sais que le bonheur se gagne à force de volonté. Il faut y croire, parce que la brume pourrait tout gâcher. J'ai retrouvé une photo de singes dans les arbres, si moche que, je ne la mets pas. Je ne suis même pas sur que les photos de paysage correspondent. Je m'y perds.

 

 

 

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107 kilimandjaro

En haut du Kilimandjaro.

Jeudi 13 juillet 1978

46 deuxième nuit en refuge-4

Les neiges du kilimandjaro

Refuge Peters hut à Mandara

146 arusha et kili-6

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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 22:26

 

Premier refuge de la randonnée vers les neiges du Kilimandjaro.

 45 kili dans nuage-3

Ne crois pas que ce fût une balade de santé. On a bien failli la perdre, mais pas en montant le Kili, un peu plus tard à Dar el Salam. Là, on est en forme. Le Kili on l'entrevoit parfois dans la brume, entre les branches de la foret de lichen que nous traversons. On sera en un peu moins de 4 heure à notre premier refuge. On ne porte rien. 16 porteurs pour vingt pingouins. Ouais, ça parait facile, sauf que dans ton sac t'aurais mieux fait de mettre un saucisson et une outre d'eau. Un deuxième pull aussi. Là, il ne fait pas froid. Humide, si.

Les premiers 1000 mètres de dénivelé n'ont pas été durs. 16 km pour les faire, le pourcentage est à la plaisance. Le plus souvent en sous bois. Régulièrement tu es surpris par le cri ou le bondissement des grands singes. T'as pris le temps de t'arrêter, essayer d'en photographier un.

T'avais l'habitude, en montagne de mettre su 64 ASA dans ton appareil photo. Trop lent. Jamais, tu ne pourras utiliser plus rapide que le 1/25e de seconde. Et puis tu n'avais pas le temps. Le guide en chef, jouait les serres freins. Sans cesse à te demander plus vite.

Il savait ce qu'il faisait. Les porteurs n'avaient pas tes chaussures, ni ta nourriture. Ils portaient en moyenne 40 kilos chacun. Il fallait arriver vite au refuge, faire les feux, préparer les repas, remplir les jéricans d'eau.

Toi, le touriste avec ton appareil photo, tu peux villégiaturer à ton aise, eux ils bossent, il faut qu'ils en amènent un max au sommet, et qu'il n'y ait pas de pet dans la dernière ascension.

Ils font le job, quoi !

 

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107 kilimandjaro

En haut du Kilimandjaro.

Jeudi 13 juillet 1978

146 arusha et kili-6

 Les neiges du Kilimandjaro. Arusha,

base de départ.

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 14:31

A l'ascension des neiges, première étape.

146 arusha et kili-6

C'était encore la grande époque des charters en 1978. Nous allions voyager avec Ethiopia-Air Lines. Tant que tu n'as pas voyagé comme ça, tu ne sais pas que tous les avions ne sont pas pareils. L'age et l'usage vont bien vite attirer ton attention là où tu ne t'interrogeais pas. Mais bref ! L'époque n'était pas au contrôle sur internet de la fiabilité d'une compagnie.

C'était ton deuxième « grand voyage » le précédent datait de 1974. Même en charter, rien que le vol, tu bouffais près de deux mois de salaire. Avec la visite du pays, ça dépassait les quatre mois. Donc, c'était une folie, au sens du budget, et un peu irresponsable au sens de ton impréparation de ce que tu allais vivre.

Quatre ans pour te refaire les économies, et tu lâches tout dans ce rêve fou. T'avais laissé ta fille bébé à tes beaux-parents, t'avais vraiment besoin d'air, plutôt de grands espaces. Te régénérer.

Le voyage avait été plus que pénible dans un avion surchargé, où des passagers se faisaient le thé à la menthe en chauffant leur théière sur un camping gaz. Des heures bloqués au Caire, on n’a jamais su pourquoi, avion portes ouvertes, moteurs arrêtés, sans clim bien sur.

 

Comment t'étais-tu donc, encore trouvé dans cette galère ?

T'avais pas le choix à cette époque. Les voyagistes officiels, tu ne regardais même pas les devantures. C'était le bouche à oreilles : moi j'ai un prix au « point Mulhouse », untel part de Bruxelles, c'est possible avec Nouvelle Frontières, mais on ne sait ni la date de départ, ni d'où ils partent. On te tend un prospectus polycopié sur un papier bleu. Tu vas voir, c'est au quartier Latin. Ce samedi là il y a une bonne foule : Le Kili ? Ben! C'est pas sûr ! On pense avoir les accompagnateurs, mais ça dépend du groupe. Le parcours, c'est plutôt un thème, c'est au groupe de voir, de décider ce que vous voulez faire, avec la somme, vous devriez trouver les hôtels et les transports.

  • Oui, mais l’ascension ?

  • Vous verrez sur place, il y a un hôtel genre « lodge » qui loue ce qu'il faut, au bas de la piste.

  • Alors les équipements ? Rien de spécial, des bonnes chaussures, un pull parce que la nuit à plus de 5000 m il fait froid, et un coupe vent. Il y aura des porteurs, prenez le minimum.

  • Pour la nourriture, l'eau comment ça s'organise ?

  • Il y a de l'eau, il y a les porteurs, si le groupe se constitue, vous achetez ce que vous avez besoin, on a des caisses pour tout faire voyager.

Quand tu pars comme ça pour près de quatre semaines, que tu sais les trois thèmes de voyage : Le Kilimandjaro, le Serengeti, Zanzibar, qu'il te faut prévoir de dormir sous la tente, préparer ta bouffe, avoir un peu de linge, le duvet, le tapis de sol, tu poses tout devant ton sac à dos façon scout (voir l'emblème du Routard), tu fais des choix drastiques, en repensant à tout ce qu'on t'a dit.

 

Une fois inscrits, les réunions de préparation s’enchaînent. Il y a un accompagnateur façon débrouille sur place, et un guide de montagne. Personne n'est allé en Tanzanie. On sait juste qu'il faut avoir de la monnaie d'échange, et que ce n'est pas seulement du fric. La discussion sur la bouffe pour l'ascension va nous faire prendre : des nouilles, des soupes en sachets lyophilisées, du saucisson, de la purée mousseline, du  poisson, genre colin, en boite (ce qu'il y avait de moins cher), du pain longue conservation, des boites de cassoulets  « industriel ». Manquait que le singe et les biscuits durs !

 

Les fameux « circuits aventures » d'aujourd'hui ont un coté sage et sécur qui t'ont fait oublier depuis longtemps tes petites histoires.

 

Dans les quelques photos du jour, autour de Arusha, t'as ajouté tes petites notes griffonnées dans les moments d'attente. Tu les as exumées  il n'y a pas longtemps, les pilleurs de cave avaient jeté par terre le contenu de tous les cartons, de toutes les boites. Dans la poussière t'as déterré ces vieux souvenirs. T'avais scanné plusieurs boites de diapos. Tu sais qu'il t'en manque, parce que t'en as fait dupliquer et les originaux n'ont jamais retrouvé leur place. Et puis en fonction de tes interlocuteurs, t'avais la version complète, ou la version 2*50. Les déménagements et le reste ont pas mal bousculé ton trésor.

 

 

Alors quelques lignes de ton calepin :

Les dates exactes du séjour sont perdues, reste celle de l'arrivée à Gillman's point : 13/07/1978.

 

Arrivée samedi 18h à Moshi ; plus de quatre heures de retard. Aucun bus ne nous attend. Pas d'accueil. Premiers palabres, il faut aller à Arusha. Non prévu. (Bataille pour les chambres et les sanitaires).

Hôtel Greenland.

Le soir grosse discussion : 3 gars du groupe réclament leur tune et partent en autonome.

Des tentatives de change au noir. Des essais moyens et d'autres plus fructueux. (Dans une autre partie du voyage, le guide parti le soir en « transaction » se fera agressé.)

 

Taxi jusqu'à Norango Hotel pas loin du départ pour le Kili. C'est une sorte de lodge où nous préparons l'ascension. On y dresse nos tentes, et le soir on fait chauffer des nouilles, on tranche le jambon de Bayonne. Gruyère.

Le matin petite pluie. Le réchaud ne marche plus.

Petit passage « buvette ».

préparatifs longs= négociation sur le nombre et le prix des porteurs : 16 porteurs pour le groupe de 20.

Arrivée en Land Rover à la barrière du parc national vers 14h25.On sera au refuge de Mandara hut vers 17 h45.

 

107 kilimandjaro   Les neiges du Kilimandjaro
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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 14:21

serengeti-1
serengeti-1
par AlbumRJ

 

La lumière, la couleur, chaque seconde du parc national du Serengeti en Tanzanie, est une aubaine des sens.

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 16:36

Zanzibar coucher du soliel-1La Tanzanie, c'est un petit miracle: le soleil se lève sur le Kilimandjaro, et se couche sur l'ile de Zanzibar.

C'est le monde à l'envers.

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 16:16

kilimandjaro-1-1
kilimandjaro-1-1
par AlbumRJ

 

Le soleil se lève au dessus de la mer de nuages. Il est à peine cinq heures. Il fait moins quize. Tu trembles de partout. Bientôt un jour sans boire. Pourras tu monter ?

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