Montluïc et la fondation Miro.
Ça n’est
par la première fois que ce blog t’emmène en Espagne. Avec lui tu as déjà fais le tour des Mallos de Riglos (si tu es randonneur). Avec quatre ans de pratique du blog, t’as repéré que le sujet
sur les Mallos est un de tes succès. Dans ton box office perso, les Mallos arrive cinquième ou sixième ; pas de buzz, mais deux trois visites chaque semaine.
Donc, ce petit tour en Espagne, que tu entreprends aujourd’hui va te promener autour de Barcelone, dans les pas de Dali, Gaudi, Miro.
T’as chargé ta première cassette vidéo, et tu vas la dérouler comme ça au fil du temps.
Aujourd’hui Miro. T’es le 14 mai 2004. C’est ton troisième mois de retraité, t’expérimente un nouveau mode de voyage, en groupe et « culturel » avec CLIO. L’universitaire discret mais savant qui sans notes te montre un détail, un « code » qui te commute en amateur passionné là où tu ne serais passé qu’en badaud.
Ce n’était pas un inconnu pour toi Miro, avant cette visite. Tu t’étais parfois demandé si ce n’était pas le modèle des « Shadocks ». Mais l’avantage d’être sur place, c’est que tu le découvres dans sa durée d’artiste ; D’apprenti gauche (même si toi tu n’as jamais rêvé de ce savoir-faire) à cette personnalité des œuvres qui en a révélé le génie.
Ma déambulation passe par la découverte du site de Montjuïc, les enfants que nous aurons le temps de croiser lors de nos attentes, et quelques images grappillées dans le musée, avec en point d’orgue, la sculpture en « papier mâché » qui figure un couple d’amoureux. Sur le guide, il semble que l’original soit à la Défense près de Paris ; Pour y avoir longtemps travaillé, je ne l’ai pas vu.
Qu’est-ce qui te remet en tête de parcourir tes archives vidéo sur cette peinture espagnole ? Rien ! Comme ça ! Tu sorts du musée Jacquemart André, il y avait des œuvres de Dali et de Miro. Voilà, t’étais passé à Barcelone, une bonne occase pour « recycler » tes souvenirs…