Reykjavik – Glymur
Je débute ici ce carnet de voyage qui va vous faire partager –du moins c’est mon projet- les petites sensations, les petites découvertes, les vrais moments de bonheur qui ont jalonné notre séjour en Islande. Pas d’images fracassantes, rien que le cheminement tranquille vers ces lieux un peu perdus, où l’émotion naît de la découverte et de la contemplation du paysage et de la nature. Le projet vidéo est de raviver quelques souvenirs, non pour leur nostalgie, mais pour restituer l’ambiance. Mieux que tout, elle donne à ce voyage les saveurs, la charge émotionnelle, que je ne saurais pas décrire, et qui nous ont accompagné tout le long du séjour.
Je vous invite à nous suivre et si je peux vous donner envie, c’est pari gagné.
Visiter l’Islande, çà n’est pas un choix évident. C’est comme une musique de Bartok, la première lecture des guides nous abasourdit. Pourtant, de la même façon que l’oreille découvre de nouvelles sensations, le bouche à oreille installe tranquillement cette évidence, il faut y aller.
Alors on teste sa résistance, car les options de découvertes sont nombreuses, et le climat annoncé moins facile qu’une rando pyrénéenne. Des voyages à pieds, des voyages sous tente, peu de voyages associant la randonnée découverte et le confort d’une chambre d’hôte ou d’un refuge.
Et puis, comment tout voir ? Et bien nous avons choisi le grand Ouest, comme montre cette carte « Google Earth » avec nos points de passage relevés au GPS.
Pourquoi tel voyagiste plutôt qu'un autre? Parce que cela semblait nous correspondre. Dans ce genre de voyage, l’agence locale, l’animateur et le groupe font la différence. Et la! Coup de pot !
Quelques photos dans ce premier album, quelques images dans ce premier clip : c’est notre premier contact avec le séjour. On a atterri le 10 juillet. Certains se rappellent peut-être que c’était une sorte de symphonie inachevée pour Zizou. Dans notre petit "restau" indiqué par le « routard » ou par l’accompagnateur à l’arrivée, le téléphone sonnait à chaque évènement. En rentrant vers la guest house, nous avons croisé nombre de supporters italiens enthousiastes. Qui l’eut cru ?
Vers vingt trois heures, il fait encore grand jour. Le lendemain un bus mémorable va contribuer au mythe du voyage. Il louvoie plus qu’une barque à la godille, mais il nous fera traverser des espaces incroyables. Nous faisons donc la connaissance de Victor notre chauffeur et d’Asa notre guide francophone. Deux clés de la réussite du voyage.
1 reykjavik glymur
envoyé par albumrj
A suivre « en rando vers Glymur »