1 décembre 2006 5 01 /12 /décembre /2006 22:58

Reykjavik – Glymur

Je débute ici ce carnet de voyage qui va vous faire partager –du moins c’est mon projet- les petites sensations, les petites découvertes, les vrais moments de bonheur qui ont jalonné notre séjour en Islande. Pas d’images fracassantes, rien que le cheminement tranquille vers ces lieux un peu perdus, où l’émotion naît de la découverte et de la contemplation du paysage et de la nature. Le projet vidéo est de raviver quelques souvenirs, non pour leur nostalgie, mais pour restituer l’ambiance. Mieux que tout, elle donne à ce voyage les saveurs, la charge émotionnelle, que je ne saurais pas décrire, et qui nous ont accompagné tout le long du séjour.

Je vous invite à nous suivre et si je peux vous donner envie, c’est pari gagné.

Visiter l’Islande, çà n’est pas un choix évident. C’est comme une musique de Bartok, la première lecture des guides nous abasourdit. Pourtant, de la même façon que l’oreille découvre de nouvelles sensations, le bouche à oreille installe tranquillement cette évidence, il faut y aller.

Alors on teste sa résistance, car les options de découvertes sont nombreuses, et le climat annoncé moins facile qu’une rando pyrénéenne. Des voyages à pieds, des voyages sous tente, peu de voyages associant la randonnée découverte et le confort d’une chambre d’hôte ou d’un refuge.


Et puis, comment tout voir ? Et bien nous avons choisi le grand Ouest, comme montre cette carte « Google Earth » avec nos points de passage relevés au GPS.

Pourquoi tel voyagiste plutôt qu'un autre? Parce que cela semblait nous correspondre. Dans ce genre de voyage, l’agence locale, l’animateur et le groupe font la différence. Et la! Coup de pot !

Quelques photos dans ce premier album, quelques images dans ce premier clip :  c’est notre premier contact avec le séjour. On a atterri le 10 juillet. Certains se rappellent peut-être que c’était une sorte de symphonie inachevée pour Zizou. Dans notre petit "restau" indiqué par le « routard » ou par l’accompagnateur à l’arrivée, le téléphone sonnait à chaque évènement. En rentrant vers la guest house, nous avons croisé nombre de supporters italiens enthousiastes. Qui l’eut cru ?

Vers vingt trois heures, il fait encore grand jour. Le lendemain un bus mémorable va contribuer au mythe du voyage. Il louvoie plus qu’une barque à la godille, mais il nous fera traverser des espaces incroyables. Nous faisons donc la connaissance de Victor notre chauffeur et d’Asa notre guide francophone. Deux clés de la réussite du voyage.

*

A suivre « en rando vers Glymur »

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28 novembre 2006 2 28 /11 /novembre /2006 13:35
La gare de Chalençon

Curieux décors. J’allais mettre de coté ces images, quand je me suis rendu compte de ce que la gare était à près de 2 km du village situé dans les hauteurs de la montagne. Autour de la gare, rien…(Même si aujourd’hui c’est une coquette maison bourgeoise.).

Ce matin je suis allé sur « Google Earth », et j’ai suivi un peu cette vallée de l’Eyrieux. Le village est bien loin de la gare…Pourtant au milieu du XIX siècle cette voie de chemin de fer a été décidée et construite. Quelle rentabilité a-t-elle pu avoir ? Même si le train transportait du bois et quelques voyageurs, ce n’est pas quelques dizaines de journaliers qui pouvaient rentabiliser l’équipement.

 Du coup je repensais à quelques images : Au bureau de poste (La Poste !) Les deux distributeurs de timbres et leurs balances pour peser le courrier étaient en panne. Il n’y avait pas d’autres clients que moi, et je me suis autorisé à dire que je ne comprenais pas pourquoi depuis plus de 6 mois ces deux équipements étaient en panne. Quand il y avait une file d’attente aux guichets, faire peser un courrier ou un paquet prenait facilement 20 minutes, alors que si les automates avaient fonctionné j’aurai géré mes envois en trois minutes.

Les deux postiers esquivent d’abord ma question : voulez-vous des enveloppes avec vos timbres ? Surpris, je réponds que quand j’ai besoin d’enveloppes je vais à la papeterie, et que pour envoyer mon courrier ou mes paquets je vais à la Poste. Et d’ajouter que notamment mon dernier envoi avec accusé de réception n’avait jamais été honoré, que c’est en téléphonant à mon fournisseur que j’avais su que mon colis avait été bien reçu !

Le postier voulant bien faire, et toujours en l'absence d’autres clients m’explique la concurrence, la privatisation, et que les automates en panne c’est la garantie de leur utilité à eux ! Ils vendent des enveloppes et pleins d’autres services, mais le courrier, bon ! C’est plus vraiment ça….

L’autre image, c’est la camionnette jaune de La Poste sur les chemins perdus de mes randonnées au pays basque. Les collines et les chemins font qu’il y a parfois 2 km entre deux fermes isolées. Sur trois heures de rando, je rencontre moins de dix voitures et plus de dix fois le facteur qui entre ou qui sort d’un chemin de traverse. Même s’il a porté trente ou quarante lettres (sans compter la pub), c’est pas le prix des timbres qui va payer sa tournée.

Enfin cette troisième image, un ami m’explique qu’ayant fait un achat par Internet, il est allé retirer son paquet chez un cordonnier, point de distribution d’un transporteur, et que c’était bien, parce qu’ouvert après les heures de boulot, et sur son chemin en sortant du métro.

 

Quel paradoxe hein ! Et si demain les camionnettes jaunes allaient rejoindre le cimetière industriel des rails arrachés, parce que trop loin des clients et de leurs besoins ?


Début: Vallée de l'Eyrieux 1

précédant: La vallée de l'Eyrieux 2

A suivre: Le trésor de Rochebonne


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Eyrieux 3
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24 novembre 2006 5 24 /11 /novembre /2006 09:54
Cinéma de quartier
Noiret - le Labyrinthe de Pan

Ce matin j’apprends la mort de Philippe Noiret. Il est un de ceux que j’ai vu pour la première fois au TNP dans les années 62-64. J’ai chercher un petit quart d’heure si je ne retrouvais pas dans mon fouillis le programme de l’époque. Je pense que la pièce c’était « les Rustres » de Goldoni. Dans la troupe du TNP de l’époque (était-elle encore dirigée par Jean Villar ou déjà par Georges Wilson ?) il y avait des personnalités comme, Galabru, Darras, et bien sur Noiret.

Au cinéma le premier film dont tout le monde se rappelle, un vrai film culte joyeusement anarchisant, c’était « Alexandre le bienheureux » d’Yves Robert ; et là aussi d’autres grands noms, Carmet, Pierre Richard et une petite débutante, Marlène Jobert.

 

Nous avions vu la semaine dernière, Le labyrinthe de Pan, avec Sergi Lopez. C’est un film vraiment noir et d’une cruauté féroce. Bien sur au cœur de la guerre d’Espagne, entre les Républicains et les franquistes. Le décors sombre d’une ancienne minoterie au cœur d’une vallée abrite des soldats de Franco commandé par un Sergi Lopez glaçant. La terreur règne, la torture aussi, et la « résistance républicaine » combat comme elle peut. Au milieu de cet enfer, une petite fille, orpheline, n’a de salut que dans l’imaginaire des contes de fée. Le jardin de ce moulin mène à une sorte de labyrinthe avec une statue de Pan. Mais les contes sont cruels eux aussi et les épreuves imposées à l’enfant pour les y rejoindre ajoutent encore à l’angoisse.

 

C’est fort. Parfois je n’ai pas supporté. On pourrait penser à un « Guernica » vivant. L’horreur est crédible car elle est portée par un Sergi Lopez magistral. Heureusement que le film se referme sur le conte

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23 novembre 2006 4 23 /11 /novembre /2006 14:54
Cinéma de quartier

"Scoop"  /  "Prête moi ta main"

Deux comédies et deux duels, mais une idée contre pas d’idée.

Woody Allen / Allain Chabat

Scarlett Johansso / Carlotte Gainsbourg

 

Il n’y a pas photo, le maître Woody Allen, avec « Scoop » en a encore sous le chapeau .

Le scénario de « Prête moi ta main » est des plus poussifs….

 

L’idée de « Scoop » : un journaliste décédé donne les pistes d’un scoop concernant un sérial Killer, par l’intermédiaire d’un magicien (Woody), à une jeune blonde (Scarlett), qui se découvre une passion de journaliste ;

De là on revisite la chambre de « barbe bleue », les thrillers hitchcokiens.où la blonde trop naïve se jette dans les bras du grand méchant loup. (Cependant il vaut mieux revoir « Pas de Printemps pour Marnie » ce soir sur Arte).

 

Quant au parfumé Alain Chabat il nous entraîne dans une invraisemblable histoire d’un « nez » qui loue une femme pour convenance familiale. Bof ! Préparer un faux mariage…

 

On vérifie que l’imagination maintient en forme. Woody Allen est un merveilleux agité, la petite blonde qui court derrière lui, malgré une fraîcheur et un charme vrais, semble un peu étouffée par le maître.

Celle qui m’a subjuguée, c’est Charlotte Gainsbourg. Un naturel pour passer de l’intelligence à la bêtise, de l’impertinence à la tendresse, incroyable !

J’étais depuis longtemps sous le charme avec « Jane », mais là, c’est du vif argent. Du coup Alain Chabat paraît surjouer dès qu’il en fait un peu.

 

Deux grand gagnants de ces deux soirées : Woody et Charlotte !

Et nous bien entendu, spectateurs sous le charme.
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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 22:37
Les baleinières
 

Quand je revois ces images des baleinières dans les jeux de plages, je pense à ces pêcheurs que j’avais vu tant s’escrimer sur leurs avirons ou sur leur voile. Passer la barre, affronter le courant, sauter les vagues, face au vent c’était leur travail quotidien. Ils pouvaient mettre un quart heure pour les premiers cent mètres.

En souvenir de ce village de pêcheurs au nord de Dakar, je vous mets cette photo. La pêche c’était pour vivre et la barque pour travailler.

 
 
Aujourd’hui, les ateliers sont transformés en musée, et les outils deviennent des jeux . Le pêcheur mettait un ciré, le sportif met une combinaison en kevlar. Pourtant quand la barque est soulevée par les lames, que les avirons s’agitent en l’air, il n’y a pas de triche, l’océan est le même. On a de loin l’impression qu’elle retombe doucement, alors que le choc est rude et déstabilise l’équipage . Là il suffit de reprendre son souffle, son rythme, il n’y a pas d’enjeu, seulement un but à toucher sous le regard des badauds.

 
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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 08:03
Vagues à lames (2)


- Comment tu peux mettre ça sur ton site?
- Mais, je suis attiré. Je ne sais pas combien de temps j'ai regardé, mais j'ai plein de film. C'est comme au cirque, je suis là, j’écarquille les yeux et je me dis comment il fait ?
- Le bruit, les fumées et le gaspillage ça t’amuse ?

- Les lames sont dures, regarde, elles viennent de partout, et il  peut rester debout, ou sauter. Je n'ai jamais pu tenir sur une mob. Une fois mon frère m'emmène au foot avec sa moto, j'ai failli tomber au démarrage. L'accélération...
- Tu trouves normal ce bruit, ces fumées ? Tu sens quoi là ? L’air de la mer? On est là pour se détendre écouter les vagues, attraper d'un regard le vol des oiseaux,  et toi tu es planté là,  fasciné par ces machines qui sautent en l'air, avec tous ces gogos agglutinés. En plus le haut-parleur se met à faire la claque. Tu crois qu'ils ont payé pour ce dégueulis de sons les gens à la terrasse du restau au coin?
- bon on avance !
- c'est pas ça.
- Quoi ?
- Rien, on y va.
- Comment s'appellent ces engins ?
- Sais pas. Y en avait dans le dernier film des bronzés.
- Ah!

- Tu te rappelles notre voyage en 72, je voulais faire du ski nautique. Le bateau était en panne. Peut-être que j’aurais pu. Maintenant …


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14 novembre 2006 2 14 /11 /novembre /2006 23:03

Vagues à lames.  1

 

Toussaint. On n'y croit pas. Le soleil joue de ces tours. C'est un temps de plage. Et la plage est en fête. L'océan a oublié ses tempêtes d'automne, oublié ses coefficients de marée, il joue. Comme un gros papa qui enfle son ventre sous la couette, puis laisse monter ses petits enfants puis se dégonfle ou se tourne pour faire chavirer les aventureux,  les faisant rouler sur le lit.
Tous rient, crient et se relancent. Le soleil c'est les vacances, et cette plage c'est ce grand lit d'eau et d'écumes. Maintenant il plie les genoux et la couette monte, l'enfant reste suspendu, il sait qu'il va plonger, il attend le signal. Petit sursaut du genou, grand cri! L’enfant dévale la jambe et reste bloqué sur les pieds, étourdi. Et les pieds le bercent doucement le maintenant dans la houle de couette. Son rire s'éteint doucement, il reste là reprenant son souffle, fixant son regard au ciel. Il sait que ça ne va pas durer, que chacun va se lasser, mais là il a besoin de ressentir encore une fois cette force. Elle   le soulève, le projette, puis dans un grand jeté de draps l'emmitoufle. Un baiser sur un front de sueur et de sel lui dit que c'est fini. Mais il y pense encore.

Il aime les vagues.

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8 novembre 2006 3 08 /11 /novembre /2006 17:35

Vallée de l’Eyrieux 2

- Tu ne te fais pas un peu chier sur ton vélo ?

 

Combien de fois on m’a posé la question ? Tous ceux qui n’ont pas goûté l’effet cumulé de cette fausse solitude et de cet effort imposé. En même temps qu’on dépasse les limites de ce qu’on peut découvrir à pieds, d’avoir la sensation de pouvoir se perdre, on peut donner libre cours à toutes sortes d’idées.  La plupart du temps il ne reste rien des images fugaces qui ont été générées par l’association nouveaux décors – nouvel effort. Et décider du retour c’est souvent  finir ce petit rêve qui accompagne la ballade. Là c’est plus dur, l’imaginaire ne supplée plus la longue fatigue qui s’était installée doucement, et qui s’alourdit d’un coup.

- Ben alors ! pourquoi t’y retournes ?

La fascination !

Les paysages neufs, on se les accapare. Ne pas les avoirs vus, c’est comme si ils n’existaient pas avant !  les approcher doucement, les sentir,  en même temps vibrer avec le vent, se laisser envelopper de brumes. L’œil tire les jambes,  il faut être sur que derrière,  l’image se courbe et se referme sur cette découverte, comme un trésor. Des fois l’impatience te fait pédaler plus fort : les tempes cognent un peu, le cœur aussi, et tu ressens tout le plaisir de cet instant : l’émotion unique !

- N’importe quoi ! Fais voir tes images. Ben : c’est une rivière, y fait pas beau, et tu te fais chier tout seul, hein ?

Là, t’es trop con !

 

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Eyrieux 2
envoyé par albumrj

 

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4 novembre 2006 6 04 /11 /novembre /2006 22:12
Le Pont de Crimée
 

Lorsque qu’on revient du canal de l’Ourcq pour rentrer dans Paris, on arrive au grand bassin de la Villette, et bien sur au parc construit sur les lieux des anciens abattoirs. La Géode est un point de repère facile devant le Musée. Le dimanche matin les pelouses profitent des crampons des footeux amateurs et heureux. Des fois, un ballon tombe à l’eau …

Comme je revenais des Grands Moulins, je marche jusqu’au pont de Crimée, ou plutôt de la rue de Crimée. Il y a moins de dix ans deux grands bâtiments encadraient ce pont. Les entrepôts des Magasins Généraux de Paris. Il n’en reste qu’un. L’autre, occupé par des artistes et quelques marginaux a brûlé sans que les pompiers à quelques centaines de mètres n’y puissent rien.

Quand on se renseigne sur le pont-levis au dessus du canal, on apprend que les entrepôts et le pont avaient déjà été incendiés en 1871 par les communards.

Mais le site des quais de Seine et de Loire en prolongement du canal de la Villette est en profonde restructuration. Et le dernier bâtiment des anciens entrepôts en cours de réhabilitation.





Quelques photos, et quelques bruits apportés par la vidéo….

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Le_pont_de_crimee
Vidéo envoyée par albumrj
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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 19:56
Le fils de l'homme
Pas le temps ce soir de détailler tout ce qui m'a époustoufflé dans ce film. Réalité des situations. Un son d'un réalisme glaçant. Et la vision de ce que sera une société où la police aura le pouvoir seule. BRRRR! On ne peut s'empêcher de penser à des images déjà vues au moyen orient ou en Irak. Mais là, transposé en Grande Bretagne, le réalisme des conflits avec les "refs", les réfugiés, nous percute. Sans compter tous les insurgés, révoltés, résistants  et autres terroristes qui ne savent plus pourquoi, mais qui se battent. L'allégorie finale nous redonne in extremis l'espoir que tout n'est pas perdu.
Ouf!
Vraiment à voir.
Cela m'a fait penser à deux film  voisins traités de manière différente:
-    "Soleil vert" date de 73 ou 74, la planète ne plus plus nous nourir.
-    "Renaissance (Paris 2054), un dessin animé noir et blanc qui vient de ressortir en DVD, la aussi sur la domination de certains pouvoirs, et la vaine espérance d'une éternelle jouvance....

Ces trois fims nous projètent très prochainement dans des vies plus que sombres...Mais "le fils de l'homme" n'est à peine qu'une amplification d'aujourd'hui.

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