16 janvier 2007 2 16 /01 /janvier /2007 13:26
Sur la piste de l'Ourcq, rencontre à la "cabane du pêcheur".

Tu sais, depuis plus de 20 ans, je roule sur la piste de l'Ourcq. Longtemps, la seule chose qui m'intéressait, c'était mon compteur de vitesse. Ensuite, j'ai eu ma période GPS. savoir où j'étais tout  le temps. Puis avec le téléphone mobile, j'envoie les photos du canal sur mon blog mobile. Une fois j'étais repassé sur la piste juste pour faire des photos des murs. C'est d'ailleurs une de ces photos qui est l'emblème de mon blog.

Ce matin j'ai rencontré deux jeunes femmes qui ont peint depuis quinze jours, cette "cabane du pêcheur".

Non le vélo peint dessus, c'est pas le mien! charriez pas!
Mais sous le nom de "Yoeve", ces deux peintres en décors (Yolande et Evelyne)  m'ont fait passer un moment plein de charme.  Si  un jour je voulais vous parler du vélo de mon pépé, c'était un Terrot, avec une grosse selle en simili, sur deux énormes ressorts, ben, je vous montrerai ce mur. Le vélo lui ressemble. On imagine mal la femme ouvrant sa porte, utiliser un tel vélo. Donc le pêcheur doit être à l'intérieur. Mystère.
Il faudra que je retrouve ces deux peintres et que j'éclaircisse l'histoire. Pas de lézard, elles m'ont donné leur téléphone pro...
En plus, m'ont-elles expliqué, elles restaurent cette peinture que des concurrents avaient tagguée. Moi, je rétorque qu'il y a de beaux tags, (toujours goujat au naturel).  Là, c'était juste pour détruire, répondent-elles, même si il y a bien  des beaux tags, d'autres peintures murales qui valent le coup et qui ont du sens. Elles ont le livre, moi pas!
Donc il faut que j'y retourne!
J'ai la liste de leurs oeuvres, sur le canal et autour je dois pouvoir trouver.
Une rencontre qui vous change la journée!


Suivant: La fée Yoeve
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10 janvier 2007 3 10 /01 /janvier /2007 22:25
Latrabjarg. La falaise aux oiseaux.
 

Ce matin, il n’y a pas de retardataires. Le bus nous dépose avant 9 h 30 au parking, point de départ pour la rando le long des falaises de Latrabjarg. On a lu les guides on sait que l’on vient voir les macareux, ces fabuleux oiseaux d’Islande, plus de 6 millions dans l’île. La majorité là, au bord de cette falaise, car ils nichent en haut de la falaise. Sur la vidéo vous en verrez un voler, très saccadé. Le guide nous dit qu’il peut voler à 80 km/h et plonger jusqu’à 60 m. J’ai fait près de 50 minutes de vidéo sur cette falaise : beaucoup de vent, mais quand le calme est là on se laisse envahire par les cris de toutes sortes.

Je ne connais rien aux oiseaux, mais ces colonies de pingouins, ces guillemots et autres mouettes tridactyles m’ont fasciné. Le dernier jour au restaurant nous pourrons goutter le macareux.

La falaise s’élève progressivement. Au parking on est à une cinquantaine de mètres au-dessus de l’eau. Depuis la pointe la plus à l’ouest de l’Islande (Bjargtangar) on longe la cote sud, vers l’ouest. Le vent ne laisse que peut de répit. La falaise culmine à 510 m, mais les nuages nous bloquent en-dessous de deux cent mètres. Plus rien à voir ! Après trois heures de marche il faut se replier et trouver un coin abrité pour le pique-nique.

Oui, je parle toujours de bouffe ! ben ! Le vent et le froid vous y font penser. J’ajouterai qu’une petite bière ce cinquième jour aurait été appréciée.

Je n’ai pas beaucoup de photos à mettre en ligne, trop de vidéos gâchées par le vent et par le bouger des prises de vues. La semaine prochaine je récupérerai une des photos de Michel.

A suivre de Latrabjarg à Rallhsdallir.
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7 latrabjarg
envoyé par albumrj
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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 16:19
Islande 2006 (6) Hnjotur –Breioavik
 

Il y a toujours une émotion quand on monte sur un bateau, un ferry, même une barque. Rien à voir avec l’angoisse sourde qui nous tient dans le décollage ou l’atterrissage d’un avion. Celle qui nous prend là, c’est celle du voyage, de la découverte, de la rupture et du lien tendu par le sillage. Le bruit des machines, l’odeur du gazole annoncent l’événement : on part. Dès lors, le vent n’est plus le même. Le regard cherche sur 360 degrés les repères, des images sur ces rives qu’on quitte. Il se projète au loin, avec la patience d’un guetteur en haut d’un mat ou dans la cabine du pilote : ce point, cette tache, cette ombre, est-ce là ?

Le court arrêt sur l’île de Flatey ne provoque pas l’agitation d’un bateau sur l’amazone. Trois voitures descendent avec quelques personnes, quelques bruits de cabestan, de passerelle grinçante, et la course continue.

Nous ne restons pas à Brjanslaekur, à peine débarqués, nous nous dégourdissons les jambes sur la plage. Une vraie plage, avec des vagues douces même par ce vent. Autour des falaises plus ou moins hautes, avec une pente douce vers la mer.

Le fjord de Patreksfordur que nous descendons tranquillement vers l’Ouest nous amène à ce curieux musée de Hnjotur. Lieu complètement inattendu, où l’on trouve le bric-à-brac des équipements technologiques des années 40-50, et d’authentiques outils, équipements des chasseurs et pécheurs islandais. Choc de cultures mortes…

 

A Breioavik, nous sommes bien installés. Le soir la déambulation sur la plage nous a fait découvrir les sternes. Leurs nids sont au raz du sol, dans le sable de la plage. Cris et attaques en piqué. Il fallait se protéger la tête

La falaise aux oiseaux, Latrabjarg, c’est pour demain. Fin de cette journée de transition, plutôt reposante.

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Debut: Reykjavik Glymur

Précédent: Olafsvik

A suivre: Latrabjarg

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1 janvier 2007 1 01 /01 /janvier /2007 00:00
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28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 22:13
Olafsvik – Grundarfjordur – Stykkysholmur
 

Incroyable le nombre de sites parcourus ce onze juillet. La péninsule du Snaefellsnes est un trésor. Nous avons fait le tour du fameux Snaefellsjokul, sans jamais bien le voir. Mais les plages et les concrétions de lave ont montré leur caractère. Leur végétation aussi, inattendue ! Après nos longues ballades, nous arrivons le soir vers 19h30 dans l’auberge de jeunesse qui nous héberge. N’étant pas de cuisine ! J’ai pu partir vers le port de Grundarfjordur, le village et contempler le site. Rare !

La présence de bateaux français est un témoignage de la vieille tradition des pêcheurs d’Islande, ces pêcheurs français qui venaient s’abriter là, pendant leurs campagnes.

Sur la vidéo, j’ai terminé sur notre départ avec le ferry depuis Stykkisholmur le lendemain 12 juillet.

Nous partons plus au Nord, plus à l’Ouest.

Quelqu’un m’a fait la remarque, que je n’allais pas très vite dans ce voyage, que je traînais…Oui !

Oui ! J’ai plaisir à repasser par tous nos chemins, par tous ses sites naturels si forts, comme je le disais, il y a un mois, je vous relaye sur ce blog mes sensations, mes petites émotions quotidiennes. Et j’en laisse de coté ! C’est cette lente progression, avec des éléments si présents (le vent, la pluie, plus tard le froid puis le soleil) qui donnent le vrai sens de ce voyage.

A bientôt pour Latrabjarg
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Debut : Reykjavik Glymur
Precédent: Snaefellness
A suivre: Hnjotur - Breioavik
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22 décembre 2006 5 22 /12 /décembre /2006 14:27
 Péninsule du Snaeffesllnes
 

Ce troisième jour de ballade au contact de ce paysage inattendu a généré chez moi de nouvelles sensations. Jamais l’océan que j’ai tant visité de la Pointe du Raz à San Sébastian ne m’avait à ce point captivé que ce jour là. Ce petit sujet retrace nos quatre premières heures de ballade. Plus de 80 photos et 20 mn de vidéo. Il fallait que mes sens soient mis en alertes de partout. Les conditions climatiques rudes sans être extrêmes y ont vraiment contribué. J’ai eu du mal à choisir mes illustrations : d’abord la présence des éléments est plus dans la sensation que dans les images, celles ci souffrent d’ailleurs du manque de lumière et de la présence obsédante du vent qui étouffe mes commentaires et, lèse-majesté ! Le chant des mouettes tridactyles…

 

Refaire cette longue déambulation le long des falaises de basalte noir, dans les herbes couchées par le vent, buter sur les chemins de lave, talonner sur les galets noirs si polis de la plage, entendre le vent dans la capuche de mon K-way m’a replongé dans le bonheur de l’instant de cette vraie découverte pour moi. Ouais ! Je suis fleur bleue ! Mais quand le plaisir est là, il ne faut pas le gâcher.

 

Le petit port de Miohus n’est agité que par le vent et les vagues. Pas de caravanes touristiques pour le dénaturer. L’église ou le temple en haut de la falaise fait briller son toit rouge, comme un phare de plongée les coraux.

 

En préparant ce petit sujet, je constate que je n’étais pas souvent près de notre guide, pas de notes dans mon carnet, j’ai du reconstituer le parcours avec les traces prises par mon GPS de rando.

 

La soirée de la veille, j’avais été volontaire pour la préparation du repas du soir. Du coup, je n’ai pu profiter de l’éclaircie sur le Snaefellsjokull. Vers 22 h, j’ai pris quelques images que j’ai mises au début. Heureusement que la nuit tombe tard près du 65 ème parallèle .

 
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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 14:37

Soleil et froid le long du canal

J’ai d’abord réparé deux chambres à air. Je voulais le faire hier, et puis, bah! Ce matin le soleil donnait bien, il fallait vite remettre les choses en ordre. Un peu de papier de verre, un peu de colle et tenir la rustine une minute. Le plus dur c’est toujours de faire remonter le pneu sur la jante sans pincer la chambre. Sac à dos ficelé, le passe montagne sous le casque, l’homo vététicus, chaloupe d’un pied sur l’autre, la pompe à pied d’une main, la roue réparée de l’autre, le sac sur le dos, les courroies pendantes, le téléphone griffée dans une bretelle.

Il fait si froid dans la cave que la serrure est grippée, point de vélo ! Quelques coups de pieds réparateurs et un bon bien vengeur, la clé tourne, à moins qu’elle ne vrille ? Petit contrôle, ça tourne.

Le long du canal, la lumière de trois quarts face est crue, droit dans l’œil. L’ombre des arbres me fait un effet de flash stroboscopique qui me fait cligner sans arrêt. Je passe du rouge au noir. Du coup les grosses racines me font sursauter. L’œil gauche resté à l’ombre du nez pleure tranquillement sa petite larme dans le vent. Presque personne ce matin. La passerelle de Sevran avait une couleur inhabituelle. C’est une bonne image pour mon petit téléphone.

 

J’avais, il y a bien longtemps préparé une vidéo, la dernière sur les jeux de plage à Hossegor. Je ne savais pas quoi en faire. En revoyant le sujet sur l’Islande et notre petit pique nique dans l’usine de découpe des baleines, je m’étais dit : tiens, il faudrait opposer ces images de jeunes femmes qui sautent les vagues avec leur baleinière, à celles si sombres du capitaine Achab traquant Moby Dick. Mais le temps passe…En revoyant ce clip et entendant mes commentaires « live », en dessous du degré zéro d’un « interville » d’antan, j’ai compris que c’était mission impossible. Je ferai mieux de relire Moby Dick !

Alors tant pis, cette vidéo du début novembre à Hossegor ne vous permettra que de voir ces filles agiter leurs pelles au-dessus des vagues, comme des libellules leurs ailes dans un vent trop fort.

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15 décembre 2006 5 15 /12 /décembre /2006 23:08
Glymur - Borgarnes - Elborg
Avec cette troisième page des carnets de voyage en Islande, nous continuons notre approche tranquille des caractères des paysages de l'ouest islandais. Les catalogues de voyage titrent sur  "l'eau, la glace, le feu".  Cela a été une vraie découverte pour  moi, ces fjords. Les images de ces cotes découpées, de ce jeu de saute mouton "mer / collines / mer " , de ces longs détours pour atteindre ces villes que l'on voit de l'autre coté, et notre petit bus perdu , louvoyant  en solitaire le long des routes longeant les cotes, traduisent la lente prise de conscience de ce que l'espace et le temps vont donner un rythme inhabituel au voyage.
Nous avons quitté la cascade de Glymur qui est l'autre visage de "l'eau ". La mer, les cascades et autres chutes d'eau sont des dominantes de ce voyage.
Nous allons découvrir le cratère d'Elborg. Première expression du "feu". Un cratère ordinaire, assez facilement accessible . Mais typique.


Autre facette du voyage islandais, le pique-nique de mi-journée. Et là, miracle! Des tréteaux, des glacières avec des préparations variées. Et la thermos magique pour un petit coup de chaleur avant de repartir. La première fois chacun se jette sur tout ce qu'il peut attraper, jusqu'à comprendre qu'il y aura toujours suffisamment! 
Ce premier pique-nique dans une ancienne usine de dépeçages des baleines, à l'abri de la pluie, mais balayée par le vent a été vite expédié.
Ces dernières images du 11 juillet.
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Début: Reykjavik Glymur
A Suivre: Penninsule du Snaefellness
Précèdant: Hjvaljordur Glymur


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8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 04:00
Hvalfjordur – Glymur

Dans cette seconde étape de notre ballade islandaise, nous avons à peine quitté Reykjavik, que c’est déjà le fjord d’Hvalfjodur. Åsa nous donne quelques infos sur les activités du fjord, l’abri qu’il constituait pour les bateaux pendant la guerre, et l’usine pour dépecer les baleines, fermée depuis 17 ans. Quand on arrive au fond du fjord, tranquillement elle met son sur-pantalon, ses chaussures et son pull en laine islandaise (j’en ai acheté un pour moi, super !).


Le bus s’arrête sur un parking désert et le temps de serrer les capes de pluie, nous voilà partisi.

Quelques explications sur le Lupin de l’Alaska pour recréer de la végétation sur les laves, et nous montons doucement.

A la passerelle (un tronc et un câble), un mot pour dire comment faire et hop ! De l’autre côté de la Bolnsa. J’avais l’habitude des guides pyrénéens. Des hommes jeunes, grands, secs, bronzés, des jambes longues comme des pattes d’araignées. Qui dans tous les passages difficiles marchent à côté de toi, sont derrières ou devant, enfin s’inquiètent de ton faux pas, et te mettent la pression…

Là, cette femme tranquille, sa chevelure rousse ramassée sous son bonnet de laine, un petit sac de rien pour la pluie, passe la passerelle en trois petits pas posés et nous invite à suivre. Elle nous accueille avec un gentil sourire, s’assure que tout le monde vient et enchaîne la promenade.

Le ton est donné. Le rythme aussi. On a le temps de contempler, on peut souffler si ça grimpe trop dur, et attendre si on ne se sent pas sur de soi. Les plus en forme peuvent tout gravir. Et pour celui, comme moi, qui aime aussi s’installer dans le paysage, c’est la détente.

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2 hvalfjodur glymur
envoyé par albumrj

 

**   (A suivre Glymur - Borgarnes)

Debut: Reykjavik Glymur

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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 09:31

 

 

Un trésor sur la route perdue du Château de Rochebonne

Le guide du routard te donne toujours de bonnes idées. Quand ton objectif principal de ballade s’éloigne, surtout quand il est top loin, faire demi-tour comme ça, sans rapporter un souvenir bien racontable, c’est impossible. Comment se faire plaisir après cinq heures sur ta selle ? Le village de Chalençon est réputé remarquable. Mais je ne voulais pas me dérouter alors je l’ai passé. Ensuite le guide et la carte me suggèrent le  château de Rochebonne ! Sauf que sur cette voie de chemin de fer tu ne croises pas les routes, et donc je l’ai loupé et bien dépassé.

Tant mieux, car en revoyant ces images, c’est cette longue route solitaire sur ce chemin cahoteux, dans ce petit temps, mais au cœur de cette vallée de l’Eyrieux qui restera le temps fort de ce séjour. Bien sur, faire une ballade un peu longue sans pépin, il faut de la chance !

La magie du lieu est dans cette envie d’aller plus loin d’en voir plus. Le vélo te laisse entendre l’eau qui cascade entre les rochers. Le vent en s’engouffrant dans ton casque te ramène le bruit des feuilles Les nuages ont diffusé une lumière douce, et chaque vallée, chaque colline est elle-même sans l’artifice des ombres et de la lumière crue. Le décor est fait de pierres rudes, de villages sombres perdus dans les brumes. Depuis l’autre bord de la vallée, tu n’entends pas les bruits de la ville, tu ne vois rien bouger. Des villages fantômes. Existent-ils ?

Alors tu bascules, tu quittes le ballaste blanc, tu glisses le long d’un chemin herbeux et boueux. Le signal du réel c’est le chien ! Il t’a entendu trop tard, alors il se précipite. Dix maisons, peut-être pas ? Une petite bruine, douce. Passer le pont. La grand route. Les autos sont là, bien réelles..

 

Cette ballade, elle est à moi pour toujours.

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