29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 13:43


En haut de la Pène de Mu : Escos – Labastide-Villefranche

 

PENE DE MU-806C'est l'automne, les arroseurs géants qui puisent l'eau du gave sont au repos. Les maïs sont fauchés ou attendent de l'être. Le soleil arrive depuis les montagnes en arrière plan. Enfin, pas exactement, mais la lumière maintient les sommets lointains comme le pic d’Ory dans l'ombre et la brume. La plaine du gave est dans le calme. Pas d'engins. Là bas, tu perçois le bruit des camions sur la route de Peyrehorade. Même si l'effort a été court, tu transpires à fond. Ça n'a pas l'air de déranger le nuage de moucherons qui t'environnes. Ton VTT calé contre la table d'orientation, tu déballes ton appareil, cherche le télé au fond du sac. Les potes te charrient quand ils pèsent ton sac : plus de cinq kilos. « Et pourquoi tu te traînes cet arsenal, un petit compact ça ne serait pas plus simple ?  Regarde, ça zoome dix fois ! »

Le problème et tu peux le comprendre, c'est la difficulté de cadrer avec un compact en pleine lumière. Et puis, un zoom par 10, quand tu tiens l'appareil en bout de bras, tu imagines le bougé au final !  Avec ton reflexe, ton œil est en symbiose avec ton viseur, presque une double vue. Cette fois, avec les broussailles dégagées, tu vas pouvoir renouveler les photos faites, il y a si longtemps,. avec tes enfants. Elles doivent être dans une boite à la cave.

PENE DE MU-812

Regard neuf donc !

J'ai utilisé photoshop pour un panoramique. Pas top. La lumière n'est pas reçue de la même façon par l'objectif ,en fonction de ta rotation. Avec ton PC daltonien, c'est pas le moment de t'amuser avec les couleurs.

Le paysage est donc à toi, pour les quelques minutes où ton regard voudra le saisir.

D'abord, les grands cercles concentriques qui marquent la trace des portiques d'arrosage. Ensuite Escos, avec un peu à l'écart cet ancien château devenu résidence. Un ancien te racontait que son abandon avait permis aux enfants d'en faire une caverne d'Ali Baba. Que de vieilles armoires avaient été converties en raft ou radeau pour descendre le gave.

Plus loin, un peu en hauteur, le village de Labastide-Villefranche. On reconnaît la vieille tour, et le château dit « bijou ».

Le paysage se referme sur le vieux pont du chemin de fer, reliant les deux rives du gave, entre Escos et Castagnède.

Il te reste à descendre quelques pas pour un regard rapide vers la statue.

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 12:24

 

Toujours la fascination des vagues à l'entrée du chenal.

 

capbreton - 505T'as un besoin maladif de faire des photos. As-tu bien mesuré la différence entre celles d'aujourd'hui, celles d'il y a deux ans, celles d'avant. C'est quand tu es chez toi, que tu archives, que tu notes les différences.

La lumière est l'élément auquel tu es le plus sensible. C'est d'abord la lumière que tu reçois. Ensuite c'est son scintillement sur les vagues,ou son adoucissement par la brume. Le contraste aussi est important, les ombres crues du matin, celles plus sombres du soir, parfois troublées par l'ai chaud.

Ce qui te déclenche ce besoin de photo, c'est un capteur irrationnel, quelque part dans ta tête qui te dit que cette lumière est neuve. Tout d'un coup tu stoppes, t'ouvres le sac, tu scrutes la lumière derrière le miroir de ton réflexe.

Après se forme l'image. Qu'est ce que la lumière te montre ou t'oblige à deviner ? Maintenant tu as la perception de ce que tu vois. Le mouvement c'est la dernière étape de ton ressenti. Il tire ta conscience de son hypnose.

Enfin, quand l'océan lève son jupon d'écume, le paysage prend sens : la plage à coté du port, le bonheur de se laisser bercer par son rythme, et même si les thoniers sont remplacés par les scooters des mers, même si la récompense de l'effort du travail a disparu au profit de la jouissance futile de chevaucher la vague, l'animation du bord de mer empli ton besoin d'espace infini.

 

Chercher l'infini dans une photo ? Le soleil a donné chaud au vieux parigot !

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 12:04


La Pène de Mu. Départ d'Escos.

 La pene de mu - Escos - 904

Quand tu te remets en forme, tu passes régulièrement par des parcours où tu retrouves tes sensations. C'est plus facile de rouler sur le bitume que de se trouver des chemins VTTistables. Comme un voisin t'avais dit que l'ancienne voie ferrée avait été nettoyée jusqu'à Salies, tu t'y étais lancé. T'avais même entraîné ta petite femme sur son VAE. Quand on dit «nettoyé », faut voir pour qui ! Ta petite femme avec ses pneus anti-crevaison (silicone et kevlar) est passée sans encombre. Ton VTT, lui a des pneus tendres pour agripper dans la glaise. Ouais ! Il a surtout agrippé les épines des ronces broyées sur place. T'est rapide à réparer, mais faut quand même pas trop pousser ! Rentré chez toi après deux chambres à air percées, t’examines tes crampons : équipés pour une descente de glacier ! Des épines sur tout le tour, comme un pneu à clous. Patiemment, à la pince à épiler, tu nettoies ta couronne d'épines. Plus de trente pointes un peu partout.

 

La veille t'avais refait ce petit parcours qui te mène à Sauveterre de Béarn, et te permet, par les petits villages comme Oraas, te de retrouver derrière la Pène de Mu. Maintenant le chemin est balisé, et le petit chemin en sous-bois t'emmène à ce point de vue où tu domines le Gave. Ta surprise a été de constater que les taillis avaient été rabattus, dégageant la vue.

Donc le lendemain tu lestes ton sac à dos de l’appareil photo, et tu refais la route en partant d'Escos. Il n'est pas dix heures quand tu arrives au pied de la colline. Elle est à contre-jour ; la première fois que tu est venu ici, tu t'es baigné dessous, dans le Gave. Plus tard, t'y as amené tes enfants. Ce coin est plein d'évocations.

Le vieux pont de chemin de fer d'abord. La première fois où tu es venu, le train passait encore ; traverser le Gave demandait un peu de précautions. Depuis quand tu roules, tu guettes les copeaux de rouille aussi redoutables que des ronces.

Ce matin la lumière est bonne. Je ne suis pas sûr de la qualité des photos, car le PC vert et rouge ne me permet pas d'en juger correctement. Mais bon, ces premières images du chemin et de l'arrivée en haut. Dans le fouillis des arbres, le « château » d'Escos. Pas de photos de la montée. Le chemin très creusé n'est pas facile à descendre, il faut s'aider des pieds régulièrement. A monter il se révèle impossible. Pousser le vélo dans la glaise n'a pas vraiment de charme. Et puis tu l'as trop photographié ce chemin où tes enfants jouaient les explorateurs..Les ronces ne griffent plus leurs petits mollets, elles tombent des arbres, s'accrochent au casque ou au maillot.

Quand même là haut, dans la lumière qui t'éclaire la plaine, fait briller les remous au milieu des galets, t'as un repos de douce nostalgie.

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 13:18

 

Un dimanche d'automne ensoleillé Face à l'Océan.

 

La plage à Capbreton703Le matin t'avais fait trois heures sur ton VTT. Le temps d'un petit repas soigné, de te mettre dans le flot des voitures qui convergeaient, et te voilà à Capbreton. Tu n'y vas plus souvent l'été. La circulation et le stationnement sont trop compliqués. Ce premier dimanche d'automne, t'es étonné de retrouver une foule pareille. Bien sur ce sont des gens d'ici, les touristes sont rentrés.

 

Capbreton, tu commences toujours par la jetée. L'entrée du port. Vers seize heures, c'est la marée haute. Nombreux sont ceux qui prennent le chenal pour rentrer.

 

Un petit coup d’œil aux scooter qui jouent les mouches du coche des plaisanciers un peu lents ; Le soleil te plombe le visage, et le reflet des vagues t'éblouit. T'as oublié tes «sun glasses »!

 

Faut dire que depuis le début de ton court séjour en Béarn, des petites choses te taquinent. Tiens, par exemple, ton vieux PC portable que tu traînes partout depuis des années, en arrivant il te fait des caprices : le noir est verdâtre et le blanc est rosé . Quand t'as un blog fait de photos, » c'est vachement drôle de ne pouvoir être sur de ce que tu mets en ligne. Bien sur c'est un mauvais contact, mais va te mettre à démonter au risque de tout péter !

 

Donc les photos, il y a un petit coté loterie !

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 13:33

Si tu n'as jamais été mordu par un chien sur ton VTT,

certaines scènes t’échapperont !

 sculptures de Carmona - 706

Voilà donc la fin de ce court voyage dans l'univers de Carmona. Les enfants ont bien sur tout compris de la mise en scène, l'art des rues est peut être pour eux, pour que la fausse naïveté des œuvres rencontrent leur bonheur de la découverte. Le regard de l'enfant supplante celui de l'adulte. Il faut oser toucher, accaparer l'objet, détailler les accessoires que l'artiste a recréés.

 

Quand l'enfant tire le garde-boue du vélo, la tête du cycliste montre son inquiétude, non d'être déséquilibré, mais de la dent du chien. Celui qui n'a jamais été mordu, le pied coincé par sa pédale, ne peut imaginer l'angoisse de l'instant. Les oiseaux d'Hitchcock sont d'inoffensifs planeurs. Le chien, lui, est un terroriste chevronné, dressé à mordre et à s'échapper. «Cave canem » ne nous apprenait-on pas ?

 

On passe de l'effroi à la poésie avec le joueur de flûte. Puis dernière scène très réussie, le refus du petit verre.

 

Le champ de Mars est là; le pied de la tour Eiffel shoote dans les manèges. Les terrasses des buvettes, salles d'attente, pour l'embarquement des bateaux-mouches, et subsidiairement, pour le repos du vieux parigot, offrent une ombre aussi rafraîchissante que l'eau à bulles où claquent les glaçons.

 

Pour toi aujourd'hui, c'est pluie battante. Le VTT ne rouille pas, il roupille. Tu attends l'éclaircie pour regarder le ciel.

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 13:16

 

Le pêcheur et le cheval. Ce n'est pas une fable.

 

sculptures de Carmona - 901Notre promenade nous a fait traverser le parc André Citroën. Quinze ans peut-être que tu n'étais pas venu ? T'est accueilli par la montgolfière qui change de couleur en fonction de la pollution de l'air. Visiblement l'ai est pur en ce mois d’août. Dans les déceptions, il y a la fermeture des serres. Toutes sont en « réparation » . Beaucoup de sentier sont fermés aussi, comme si la structure du parc résistait mal au temps qui passe.

sculptures de Carmona - 904Ensuite les quais de la seine. Nous arrivons au terme de notre après midi de déambulation, la tour Eiffel impose sa présence et les statues de Carmona sont les hôtes des touristes fatiguées d'avoir piétiné. L'art des rues supporte la cohabitation. Il est fait pour vivre intégré à son espace, son quartier. Ces statues de Carmona sont comme des instantanés. Le pêcheur tire des poissons dont la défense tend la ligne. Le cheval abandonné par le gaucho dont le chapeau est à terre, scrute l'horizon des plaines.

 

Il te reste encore une série de photos, et tu auras terminé ce petit feuilleton quotidien, ta déambulation dans l'univers de Carmona..Pas sur que ce feuilleton ait trouvé l'attention des habitués du blog. Il est aussi invisible pour les moteurs de recherche. Faut dire qu'il n'y a pas vraiment d'histoire...

Le vieux parigot blogue au ralenti. Depuis quelques jours il retrouve le plaisir du VTT. Si les neutrinos vont plus vite que la lumière, tu en est resté à la mécanique classique. L'énergie cinétique ( ½ de mv²) d'un vieux VTTiste qui rate sa descente a fait que le crane est allé plus vite que la roue ! Où est l'erreur ? La tête trop pleine d'étoiles, ou le pneu gonflé d'air, alors tes particules s'écrasent sur l'écran noir de tes nuits blanches. Tu pédales mais tu n'ose pas encore t'encombrer du Nikon. Enfin le plaisir de la rando c'est aussi de boucler ton parcours, d'éprouver ta forme. De renouveler tes paysages.

 

Alors pour une fois, tant pis pour le blog.

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 22:11

 

Mélomane et Joueurs d'échecs.

 

sculptures de Carmona - 923Tu ne savais pas qu'entre le pont de Suffren et le pont de Bir-Hakeim, les quais étaient baptisés : port de Suffren. Tu rencontres au cours de ta balade deux autres statues de Carmona : « le Mélomane » (dans la version 1, qui écoute un vieux phono ; la version 2, il écoutait une radio), et l 

« les joueurs d'échecs. »

« Juego de ajedrez ».

Quelle mise en scène !

La table, les chaises , les lunettes, le bras tendu et le front qui réfléchit.

Le décor derrière change et ne perturbe pas la concentration des champions ; La feuille de marque est là qui témoigne de l'enjeu et du « professionnalisme. Ils y sont !

L'enfant saisit le bras et veut changer le coup à jouer. L'homme imperturbable, avance son pion. Tout à son jeu, il ne prête pas attention au petit.

Tu ne t'approches pas, tu sais combien la tension du jeu induit des comportements brusques La crainte du mauvais coup. Pourtant dans le bruit des bateaux mouches, ce n'est pas ton vieux Nikon qui peut déranger.

T'as bien sur le temps de regarder le pont. De laisser ton regard croiser les courbes des voûtes et les verticales des mats. La barque suspendue, comme le vol du temps, au-dessus du pont Mirabeau tout à l'heure.

Et puis, les statues de bronze accrochées à la pile : «  les nautes » !

décidément, ce Paris est trop curieux, faudra que t'y retournes.

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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 21:09

 

 

Derrière le pont Mirabeau, la statue de Carmona

devant la représentation de l'Abondance .

sculptures de Carmona - 940C'est notre promenade ce jour là qui nous permet de juxtaposer ces images. Ce Paris au mois d'août est de toute beauté. Du coté du port de javel-Haut, il n'y a guère de monde. En approchant de la tour Eiffel, il n'en sera plus de même.

Donc cette vendeuse de fruits, et sa corbeille appétissante on été posé par les créateurs de l'expo derrière le pont Mirabeau, juste dans la perspective de la statue « l'Abondance » de Jean-Antonin Injalbert. (Tu te doutes que j'ai cherché, que je ne connaissais pas ce sculpteur!)

L'art confronte deux univers, deux techniques. Moi, celle que je préfère, c'est la belle de Carmona.

 

Où sont les enfant ?

Nous les avons laissés au parc, toujours dans le bonheur des jeux interdits. Pas ceux que tu penses, des jeux innocents avec l'eau. C'est interdit crie le panneau ! C'est le bonheur clame les enfants.

Au parc André Citroën, la montgolfière anime le ciel. Les arcades de béton deviennent une rampe de lancement. Vers le ciel, vers l'imaginaire...

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 21:11

 

Du parc A Citroën au Pont Mirabeau, les sculptures de Carmona.

sculptures de Carmona - 953Une vraie belle après-midi d'août. Le parc André Citroën n'est pas Paris-Plage, pourtant les enfants inventent l'eau, que ce soit pour contrôler les puissants jets qui les fascinent, les surprennent. Il découvrent la mécanique des fluides qui soulève le ballon et le ferait tourner longtemps sans l'imprévu du vent ou de la variation de pression.. Et pourtant il tourne !

De l'autre coté le métro paraît suspendu comme un jouet d'enfant qu'une main curieuse soulève pour voir comment çà marche.

Sous l'arche, les statues de Carmona.

Les aurais-je vues sans les enfants ? sculptures de Carmona - 950

Faire le tour des jeux t'a mis en face de ce que tu ne regardais pas. Ton regard t’entraîne sur les quais de Paris, vers ces hommes d'acier rouillé que tu distingues à peine.

En remontant vers le pont Mirabeau tu croises « Al fino », le rémouleur, plus loin, le jouer de flûte andine, et devant le pont ce curieux ruban qui s'intègre à la perspective. L’œuvre s'appelle « Extincion », elle encadre la statue du pont représentant « le commerce ».

le pont Mirabeau, je ne sais pas si je l'avais regardé comme çà une fois.

La magie de l'été à Paris.

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 03:29

 

Découverte progressive du travail de l'artiste en remontant la Seine.

 

sculptures de Carmona - 963Trois nouvelles compostions : une lamelle d'acier se dressant comme un serpent, un joueur de tambour et un paysan (ou chasseur, je crois qu'il avait un fusil).

Les personnages ont un costume andin. Ils sont jeunes.

J'ai associé deux photos de jeux d'enfant dans les balets d'eau jaillissante. Invention et curiosité.

Tout comme le travail de Carmona exposé au fil de l'eau, le long du port de Paris.

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