Tu mets ces quelques photos en ligne pour bien dire que le blog n'est pas mort. Tu as des contre-temps et le blog en fait les frais. Ce n'est pas important, mais depuis le temps que tu l'animes tu y tiens . C'est un petit jardin d'émotions que tu travailles au fil des jours.
Le jardin d’Éole au carrefour de la rue Riquet et de la rue d'Aubervilliers, est tout près du 104. Quand tu visites l'un tu passes à l'autre. Ta promenade est complète.
Combien de temps es-tu resté en panne d'Internet ? 65 jours ! Et oui, l'Orange et Free n'ont pas la fibre l'un pour l'autre. C'est un mur d'escalade, ou le seul écho est le dialogue de sourd... On n'en meurt pas, ou si peu...
Et puis ta santé a profité de la neige pour slalomer en dehors des pistes ; te revoilà lancé sur la bonne pente, tu remets le contact.
Donc ces images des enfants face au but. Pour marquer il faut planter le ballon dans le regard de la sirène. Autour, les tronches te rappellent celles des stades, sortent de spectateurs morts-vivants, attendant leur heure, le moment de se payer celui qui tombe, le vaincu .
Pour les jeunes, ils attendent juste d'être le nombre, pour pouvoir se lancer à fond. La sirène, c'est l'appel du ballon, le rêve de Messi.