14 août 2012
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Même a la retraite un vieux Parigot regarde la mer avec les yeux de l'enfant qui découvre l'océan. Le bruit des jets a remplacé le ressac des vagues sur les rochers . Le soleil d'été invente des couleurs inconnues ou l'écume blanche découpe l'ombre profonde des vagues. Tu n'es pas de la mer, ni de l'océan. Quand il est temps de repartir, tu ne sais quand t'y replongeras. Toujours la même fascination inquiète. Le port aussi t'intrigue, tous ces bateaux qui usent leur coque à se frotter au béton du quai, bien plus qu'à écraser le flux des vagues. Échappent-ils un peu au noeud de l'anneau ? "ouvrez , ouvrez la cage au bateaux"